Cela fait maintenant quelques mois que j'ai repris l'activité reliure. J'avoue en retirer une satisfaction probante.
L'étendue des étapes permet de diversifier son travail et ne pas ressentir le poids de la journée.
On n'imagine pas comme cela, les soins qu'il faut apporter à un volume, toute la précision et la rigueur. L'implication qu'il faut mettre. Le plaisir du bel objet. Tout cela définit l'esprit de cette section. Tout cela encadré par l'enthousiasme et la passion de notre monitrice.
J'aimerais bien continuer "cette aventure" et prendre encore plus d'assurance et de plaisir.
Il peut y avoir trois types de reliure : la traditionnelle et l'industrielle. J'ai une préférence pour la traditionnelle. Dans le cas d'un particulier, le livre nécessite une réparation qui va du débrochage, à la réfection des cahiers du livre, à la couture de ces derniers pour les relier ensemble ; refaire des couvertures et les dos du livre.
Pour une reliure industrielle cela consiste à une perforation volume et mise de ressorts pour attacher les pages entre elle.
Il y a aussi une reliure de documents officiels tel de l'archivage. Ces commandes ont des délais qu'il est souhaité de respecter.
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Bien resumé Gilles,
RépondreSupprimerSi je peut ajouter:
Cela donne une certaine valorisation de sois meme.
C'est un metier atistique.
Merci, cela fait plaisir d'avoir des commentaires surtout si ils sont aussi symapa
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